Informer quelqu'un sur la problématique du climat, entre autres dossiers brûlants à l'heure de l'effondrement, ne suffit pas à le pousser à modifier ses habitudes, d'où l'impression parfois d'alerter dans le vide qu'ont ceux qui ne sont plus à convaincre.
Voilà de quoi exaspérer ces derniers, dont vous êtes peut-être, qui ne comprennent pas comment on peut encore, après tout ce qu'on a appris sur l'effondrement en cours, continuer à gaspiller, polluer, consommer et encourager le business as usual.
Deux monde s'opposent alors : les "activistes" prêts à modifier leurs comportements si le salut de la planète ou le leur en dépend; et les "indifférents", par déni ou négligence, qui ne se sentent tout simplement pas concernés.
Comment expliquer l'inertie dont font preuve "les autres " ?