Hier, 17 juin, j'ai revu dans la rue quelque chose somme toute d'extraordinaire, dont le souvenir auréolait patiemment les passants jusque là muets : un visage.
Les Français privés de soirées sociales par le couvre-feu d'octobre se trouvent de nouveau confinés comme d'autres populations en plusieurs endroits du globe.
Pour la deuxième fois.
Or on ne peut pas se frustrer indéfiniment de contacts humains sans altérer sa santé mentale.