Hier, 17 juin, j'ai revu dans la rue quelque chose somme toute d'extraordinaire, dont le souvenir auréolait patiemment les passants jusque là muets : un visage.
La peur fait autant de mal qu'un virus et se transmet plus insidieusement encore que l'agent pathogène.
Or le coronavirus actuellement en train de se répandre mondialement, a tous les attributs encourageant une psychose épidémique.